Qu’est-ce qu’un Zingueur ? Tout savoir sur ce métier essentiel du bâtiment

Métier de zingueur : missions, salaire, formation et perspectives

Le zingueur est un professionnel du bâtiment spécialisé dans le travail du zinc et d’autres métaux utilisés pour la couverture et l’étanchéité des toitures. Son rôle principal est de poser, réparer et entretenir les zingueries des toits, tels que les gouttières, les chéneaux, les cheminées, les lucarnes et les systèmes d’évacuation des eaux pluviales. Le zingueur travaille également sur des projets de rénovation de monuments historiques ou d’édifices anciens, où il doit maîtriser des techniques traditionnelles.

Ce métier exige une grande précision, une excellente condition physique et une maîtrise des normes de sécurité, car il implique souvent de travailler en hauteur et dans des conditions météorologiques variées. Le zingueur est un acteur clé dans la rénovation énergétique et la préservation du patrimoine architectural.

Couvreur zingueur travaillant sur une toiture en zinc

Quelles sont les missions principales d’un zingueur ?

Le zingueur est un professionnel du bâtiment spécialisé dans les travaux de couverture en métal, principalement en zinc, mais aussi en cuivre, en acier ou en aluminium. Son rôle est essentiel pour assurer l’étanchéité et la durabilité des toitures. Ses missions principales incluent :

  • Pose de couvertures métalliques : Installation de toitures en zinc ou autres métaux, garantissant une protection efficace contre les intempéries.

  • Installation de systèmes d’évacuation des eaux pluviales : Mise en place de gouttières, chéneaux et descentes d’eau pour assurer une évacuation optimale des eaux de pluie et prévenir les infiltrations.

  • Travaux d’étanchéité : Réalisation de soudures et d’assemblages précis pour éviter toute fuite, notamment autour des cheminées, des fenêtres de toit et des raccords de toiture.

  • Entretien et réparation des toitures : Intervention pour la maintenance régulière des toits, le remplacement de pièces endommagées et la réparation des éléments de zinguerie défectueux.

  • Conception et fabrication d’éléments sur mesure : Création de pièces spécifiques comme des ornements, des lucarnes ou des habillages de façades, contribuant à l’esthétique et à la personnalisation des bâtiments.

En somme, le zingueur joue un rôle crucial dans la protection des bâtiments contre les intempéries, tout en apportant une touche esthétique grâce à la maîtrise des métaux et des techniques de couverture.

Quelles formations sont nécessaires pour devenir zingueur ?

Pour devenir zingueur, plusieurs formations professionnelles sont envisageables, principalement axées sur les diplômes suivants :

Niveau CAP (Certificat d’Aptitude Professionnelle) :

  • CAP Couvreur : Cette formation de deux ans, accessible après la classe de 3ᵉ, prépare les étudiants aux techniques de couverture et de zinguerie. Elle peut être complétée par une Mention Complémentaire (MC) Zinguerie d’un an pour se spécialiser davantage.

  • CAP Étancheur du Bâtiment et des Travaux Publics : Ce diplôme forme des ouvriers qualifiés dans les travaux d’étanchéité et peut également servir de base pour une spécialisation en zinguerie.

Niveau Bac Professionnel :

  • Bac Pro Interventions sur le Patrimoine Bâti, option Couverture : Ce cursus de trois ans après la 3ᵉ (ou deux ans après un CAP) forme des professionnels aptes à intervenir sur des bâtiments anciens ou historiques, en maîtrisant les techniques traditionnelles de couverture et de zinguerie.

Formations complémentaires et spécialisations :

  • Mention Complémentaire (MC) Zinguerie : D’une durée d’un an après un CAP Couvreur, cette formation permet d’acquérir des compétences spécifiques en zinguerie, tant en atelier que sur chantier.

  • Brevet Professionnel (BP) Couvreur : Accessible après un CAP, ce diplôme de deux ans vise à approfondir les compétences en couverture et zinguerie, et prépare à des responsabilités accrues, comme la gestion de chantiers ou la création d’entreprise.

Ces formations sont généralement proposées en alternance, combinant enseignement théorique en centre de formation et pratique en entreprise, favorisant ainsi une insertion professionnelle réussie.

Il est essentiel de noter que le métier de zingueur exige une bonne condition physique, une aisance pour le travail en hauteur, une rigueur dans le respect des normes de sécurité, ainsi qu’un sens aigu des responsabilités et du travail en équipe.

Quel est le salaire moyen d’un zingueur en France ?

En France, le salaire d’un zingueur varie en fonction de l’expérience, de la région et du statut professionnel. Selon les données disponibles, le salaire médian pour les emplois de couvreur-zingueur est d’environ 24 649 € par an, soit environ 2 054 € par mois.

Les postes de niveau débutant commencent avec un salaire aux alentours de 22 914 € par an, tandis que les travailleurs les plus expérimentés peuvent gagner jusqu’à 29 254 € par an.

Les salaires peuvent également varier en fonction des régions. Par exemple, certaines villes offrent des rémunérations plus élevées pour les couvreurs-zingueurs.

Il est important de noter que ces chiffres sont des moyennes et que les salaires peuvent fluctuer en fonction de divers facteurs tels que la demande locale, les qualifications spécifiques et les conditions du marché du travail.

Quelles sont les compétences et qualités requises pour ce métier ?

Le métier de zingueur, ou couvreur-zingueur, exige une combinaison de compétences techniques, physiques et personnelles pour assurer la qualité et la sécurité des travaux de toiture. Voici les principales compétences requises :

Compétences techniques :

  • Maîtrise des matériaux de couverture : Connaissance approfondie des propriétés et techniques de pose des matériaux tels que le zinc, le cuivre, l’aluminium, l’ardoise et les tuiles.
  • Techniques de soudure et de pliage : Capacité à façonner et assembler des éléments métalliques pour assurer l’étanchéité et la durabilité des toitures.
  • Calculs dimensionnels : Aptitude à effectuer des mesures précises et des calculs de surface et de volume pour une installation correcte des matériaux.
  • Lecture de plans : Savoir interpréter des plans et des dessins techniques pour planifier et exécuter les travaux conformément aux spécifications.

Compétences physiques :

  • Bonne condition physique : Le travail en hauteur et le maniement de matériaux lourds nécessitent endurance et force physique.
  • Sens de l’équilibre : Travailler sur des toitures inclinées ou des échafaudages requiert une excellente stabilité.

Qualités personnelles :

  • Précision et rigueur : Une attention méticuleuse aux détails est essentielle pour garantir l’étanchéité et la sécurité des installations.
  • Sens des responsabilités : Respect strict des normes de sécurité et des réglementations en vigueur pour prévenir les accidents et assurer la conformité des travaux.
  • Polyvalence et adaptabilité : Capacité à s’adapter à diverses situations, matériaux et techniques, ainsi qu’à travailler en équipe avec d’autres professionnels du bâtiment.

La formation initiale pour devenir zingueur commence généralement par un CAP Couvreur, avec des possibilités de spécialisation en obtenant une Mention Complémentaire en zinguerie. Des formations supplémentaires, telles que le Brevet Professionnel (BP) Couvreur ou le BTS Enveloppe du Bâtiment : conception et réalisation, permettent d’accéder à des postes à responsabilités ou de se spécialiser davantage.

En résumé, le métier de zingueur requiert une combinaison de compétences techniques spécifiques, une excellente condition physique et des qualités personnelles telles que la rigueur et le sens des responsabilités pour mener à bien les missions liées à la couverture et à l’étanchéité des bâtiments.

Formation couvreur en CAP ou Bac Pro

Quelles sont les perspectives d’évolution pour un couvreur ?

Le métier de zingueur offre de nombreuses perspectives d’évolution pour les professionnels souhaitant diversifier leurs compétences et assumer davantage de responsabilités. Voici les principales voies d’évolution envisageables :

1. Spécialisation dans un domaine spécifique :

  • Matériaux particuliers : Le zingueur peut se spécialiser dans l’utilisation de matériaux spécifiques tels que le zinc, l’ardoise ou les tuiles, devenant ainsi couvreur-zingueur, ardoisier ou tuilier. Cette expertise est particulièrement recherchée dans la restauration de monuments historiques ou de bâtiments traditionnels.
  • Techniques modernes : Avec l’essor des énergies renouvelables, le zingueur peut se former à l’installation de panneaux solaires ou à la mise en place de toitures végétalisées, répondant ainsi aux nouvelles demandes du marché en matière d’éco-construction.

2. Accès à des postes à responsabilité :

  • Chef d’équipe ou de chantier : Après plusieurs années d’expérience, le zingueur peut évoluer vers des fonctions de supervision, coordonnant les travaux d’une équipe sur divers chantiers.
  • Métreur : Ce poste consiste à évaluer les quantités de matériaux nécessaires et à établir des devis précis pour les clients, nécessitant une bonne connaissance technique et une aptitude à la gestion.

3. Création ou reprise d’entreprise :

  • Artisan indépendant : Le zingueur peut choisir de créer sa propre entreprise de couverture-zinguerie, offrant ainsi ses services directement aux clients et gérant sa propre structure.
  • Reprise d’une entreprise existante : Cette option permet de bénéficier d’une clientèle déjà établie et d’une réputation solide, facilitant ainsi le développement de l’activité.

4. Formation et enseignement :

  • Formateur : Avec une solide expérience, le zingueur peut transmettre son savoir-faire en enseignant dans des centres de formation professionnelle ou des lycées techniques, contribuant ainsi à la formation des futures générations de professionnels.

Ces perspectives d’évolution dépendent de la motivation du professionnel, de sa formation continue et de sa capacité à s’adapter aux évolutions du secteur du bâtiment.

Quelles sont les conditions de travail du métier de zingueur

Le métier de zingueur, ou couvreur-zingueur, implique des conditions de travail exigeantes et spécifiques. Travaillant principalement en extérieur, le zingueur est exposé aux aléas climatiques, qu’il s’agisse de fortes chaleurs, de froid intense ou d’intempéries. Son activité se déroule en hauteur, sur des toitures aux pentes parfois raides, nécessitant une vigilance constante pour prévenir les risques de chute. La manipulation de matériaux lourds et l’adoption de postures parfois inconfortables nécessitent une bonne condition physique et une endurance certaine. De plus, le zingueur doit faire preuve d’un sens aigu de l’équilibre et ne pas être sujet au vertige. Le respect strict des normes de sécurité est indispensable pour minimiser les risques inhérents à la profession. Enfin, la nature des chantiers peut impliquer des déplacements fréquents et des horaires variables, en fonction des projets et des conditions météorologiques.

Quels sont les avantages et inconvénients du métier de zingueur ?

Le métier de zingueur, ou couvreur-zingueur, présente plusieurs avantages et inconvénients.

Avantages :

  • Forte demande sur le marché du travail : Le secteur du bâtiment est en constante recherche de professionnels qualifiés, offrant ainsi une insertion professionnelle aisée pour les zingueurs.

  • Évolution salariale attractive : Un zingueur débutant perçoit généralement un salaire autour de 1 500 € par mois. Avec l’expérience, cette rémunération peut augmenter sensiblement, atteignant en moyenne 2 300 € mensuels. Les indépendants peuvent même gagner entre 3 000 € et 5 000 € par mois, en fonction de leur clientèle.

  • Diversité des missions : Le zingueur intervient sur des chantiers variés, qu’il s’agisse de constructions neuves, de rénovations ou de restaurations de monuments historiques, ce qui rend le travail enrichissant et polyvalent.

Inconvénients :

  • Conditions de travail exigeantes : Travaillant en extérieur, le zingueur est exposé aux aléas climatiques et doit souvent adopter des postures inconfortables en hauteur, ce qui nécessite une excellente condition physique.

  • Risques professionnels : Les travaux en hauteur comportent des dangers, notamment des risques de chutes. Il est donc impératif de respecter strictement les consignes de sécurité pour minimiser ces risques.

  • Mobilité requise : Les chantiers peuvent être éloignés du domicile, impliquant des déplacements fréquents et une grande disponibilité.

En résumé, le métier de zingueur offre de belles opportunités professionnelles et une rémunération attractive, mais il exige également une bonne condition physique, une vigilance constante en matière de sécurité et une certaine flexibilité géographique.

Quelles sont les spécialisations possibles pour un couvreur ?

En tant que zingueur, plusieurs spécialisations s’offrent à vous, vous permettant de diversifier vos compétences et d’élargir votre champ d’intervention. Voici quelques-unes des principales spécialisations possibles :

1. Pose de gouttières et chéneaux : Cette spécialisation consiste à fabriquer et installer des systèmes d’évacuation des eaux pluviales, tels que des gouttières, des chéneaux et des tuyaux de descente, en utilisant des matériaux comme le zinc, le cuivre ou le PVC.

2. Restauration de monuments historiques : Les zingueurs spécialisés dans ce domaine travaillent sur la rénovation et la préservation de toitures de bâtiments classés ou anciens, en employant des techniques traditionnelles et des matériaux spécifiques pour respecter l’authenticité du patrimoine.

3. Installation de panneaux solaires : Avec l’essor des énergies renouvelables, certains zingueurs se forment à la pose de panneaux solaires photovoltaïques ou thermiques, intégrant ces systèmes aux toitures tout en garantissant leur étanchéité et leur durabilité.

4. Couvreur-ardoisier ou couvreur-tuilier : Ces spécialisations se concentrent sur la maîtrise de matériaux spécifiques, tels que l’ardoise ou la tuile, pour la réalisation de toitures. Chaque matériau requiert des techniques particulières de pose et de finition.

5. Plombier-zingueur : Cette double compétence permet d’intervenir à la fois sur les installations de plomberie et les travaux de zinguerie, offrant une polyvalence appréciée dans le secteur du bâtiment.

Pour acquérir ces spécialisations, diverses formations sont disponibles, telles que le Certificat de Spécialisation Zingueur ou la Mention Complémentaire Zinguerie, accessibles après un CAP Couvreur. Ces formations permettent de développer des compétences pointues dans des domaines spécifiques de la zinguerie.

En choisissant une ou plusieurs de ces spécialisations, vous pourrez répondre à une variété de demandes et renforcer votre expertise dans des secteurs spécifiques du métier de zingueur

couveur-zingueur

Comment devenir zingueur sans diplôme ?

En France, le métier de zingueur est une profession réglementée. Pour l’exercer sans diplôme spécifique, il est nécessaire de justifier d’une expérience professionnelle d’au moins trois ans dans le domaine. Cette expérience peut être acquise en travaillant comme manœuvre ou aide-couvreur au sein d’une entreprise de couverture. Une fois cette période d’expérience validée, vous pouvez demander une attestation de qualification professionnelle auprès de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat (CMA), ce qui vous permettra de vous installer en tant qu’artisan zingueur indépendant.

Si vous ne possédez pas encore cette expérience, il est recommandé de suivre une formation qualifiante pour accéder plus rapidement au métier. Plusieurs formations sont disponibles, telles que le CAP Couvreur ou le CAP prévisionur du Bâtiment et des Travaux Publics, qui se préparent généralement en deux ans après la classe de troisième. Ces formations peuvent être complétées par une Mention Complémentaire (MC) Zinguerie d’une durée d’un an, permettant de se spécialiser davantage.

Des organismes comme l’AFPA proposent également des formations qualifiantes pour adultes souhaitant se reconvertir dans le métier de couvreur-zingueur. Ces formations, d’une durée d’environ sept mois, alternent enseignements théoriques et pratiques en centre de formation et en entreprise.

En résumé, sans diplôme, il est possible de devenir zingueur en acquérant une expérience professionnelle de trois ans dans le secteur, puis en obtenant une attestation de qualification professionnelle. Alternativement, suivez une formation diplômante permet d’accéder plus rapidement à ce métier.

Quelles sont les perspectives d’évolution pour un zingueur ?

Le métier de zingueur offre de nombreuses perspectives d’évolution pour les professionnels souhaitant diversifier leurs compétences et assumer davantage de responsabilités. Voici les principales voies d’évolution envisageables :

1. Spécialisation dans un domaine spécifique :

  • Matériaux particuliers : Le zingueur peut se spécialiser dans l’utilisation de matériaux spécifiques tels que le zinc, l’ardoise ou la tuile, devenant ainsi couvreur-zingueur, ardoisier ou tuilier. Cette expertise est particulièrement recherchée dans la restauration de monuments historiques ou la construction de bâtiments traditionnels.
  • Techniques modernes : Avec l’essor des énergies renouvelables, le zingueur peut se former à l’installation de panneaux solaires ou de toitures végétalisées, répondant ainsi aux nouvelles demandes en matière de développement durable.

2. Accès à des postes à responsabilités :

  • Chef d’équipe ou de chantier : Après plusieurs années d’expérience, le zingueur peut évoluer vers des fonctions de supervision, coordonnant les travaux d’une équipe sur divers chantiers.
  • Métreur ou technicien en bureau d’études : Avec une formation complémentaire, il est possible de s’orienter vers des postes techniques impliquant l’évaluation des coûts, la préparation des devis et la planification des projets.

3. Création ou reprise d’entreprise :

  • Artisan indépendant : Fort de son expertise, le zingueur peut choisir de créer sa propre entreprise de couverture-zinguerie, offrant ainsi ses services directement aux clients et gérant sa propre structure.

4. Formation et transmission du savoir-faire :

  • Formateur ou enseignant : Avec une solide expérience, le professionnel peut partager ses connaissances en devenant formateur dans des centres de formation ou des établissements scolaires spécialisés, contribuant ainsi à la formation des futurs zingueurs.

Le secteur de la couverture et de la zinguerie est en constante évolution, notamment avec les avancées technologiques et les préoccupations environnementales croissantes. Les professionnels qualifiés et expérimentés sont très sollicités, offrant ainsi de belles opportunités de carrière pour ceux qui souhaitent s’investir pleinement dans ce métier.

Quels outils et équipements utilise un zingueur ?

Un zingueur utilise une variété d’outils spécialisés pour travailler les matériaux de couverture, notamment le zinc, et assurer l’étanchéité et la durabilité des toitures. Voici une liste des principaux outils et équipements utilisés :

Outils de base :

  • Marteau de couvreur : Utilisé pour tailler et ajuster les ardoises. Traditionnellement forgé à la main, il possède souvent un manche en cuir pour une prise en main optimale.

  • Enclume de couvreur : Support sur lequel l’ardoisier façonne les ardoises pour obtenir des découpes précises.

  • Équerre et fausse équerre : Permettent de tracer des angles droits ou spécifiques pour le placement précis des matériaux de couverture.

  • Cordeau et biberon de poudre : Utilisés pour marquer des lignes droites sur les surfaces, facilitant l’alignement des éléments de toiture.

Outils spécifiques au travail du zinc :

  • Pince à border : Outil de finition permettant de pincer et relever les bords des plaques de zinc pour des finitions nettes.

  • Griffe à zinc : Utilisée pour tracer des repères précis sur les feuilles de zinc avant découpe ou pliage.

  • Cisaille forgée : Permet de couper et découper les matériaux de couverture avec précision.

  • Plieuse courbe : Outil permettant de créer

Conclusion sur le métier de zingueur

Le métier de zingueur est à la fois technique et passionnant, offrant de nombreuses opportunités d’évolution et de spécialisation.

Que vous soyez intéressé par la rénovation énergétique, la restauration de monuments historiques ou la création d’entreprise, ce métier offre un large éventail de possibilités.

Si vous avez des questions supplémentaires, n’hésitez pas à consulter nos autres articles ou à nous les poser en commentaire !

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